Une brève histoire de la Pilule Rouge

Une brève histoire de la Pilule Rouge

Discutant de pilule rouge récemment avec des abonnés, je me suis rendu compte que le terme avait une signification évolutive et que je ne connaissais pas de synthèse concise de l’histoire de la pensée pilule rouge depuis l’apparition du terme. C’est donc cette synthèse, nécessairement partielle et partiale, que j’ai souhaité proposer ici.

Un concept “masculiniste” ?

Le concept de pilule rouge découle d’une image du film Matrix largement connue dans la culture populaire comme le symbole d’une vérité profonde mais difficile à accepter. La formule “pilule rouge” a été appliquée aux relations homme/femme très rapidement après la sortie du film (dans les deux années qui ont suivi).

On entend donc par pilule rouge un ensemble de savoirs théoriques et pratiques au sujet des hommes, des femmes, des relations homme/femme et de ces relations au sein du fonctionnement socio-économique (e.g. l’Etat). Il est impossible de résumer cette connaissance en un paragraphe d’article, et nous ne pouvons que conseiller au lecteur le documentaire The Red Pill, les livres de Rollo Tomassi ou de Warren Farrell pour en avoir un aperçu.

Du fait de la définition très large de “vérité difficile à accepter”, de nombreuses communautés revendiquent leur propre pilule rouge et il est donc fréquent que se télescopent des pilules rouges provenant de plusieurs niches différentes. Même les féministes prétendent parfois que les “masculinistes” auraient découvert le concept de pilule rouge dans leurs rangs et l’auraient recyclé (est-ce surprenant de la part de gens qui considèrent que toute opposition au féminisme est une copie du féminisme ?).

D’autres prétendent qu’il existerait une pilule rouge “totale” qui combinerait les vérités sur la plupart des sujets de société (immigration, religions, décadence etc). Cette perspective a un certain fondement dans la mesure où il y a des points communs dans la communication “pilule bleue” sur la plupart des sujets (comprendre la pilule rouge homme/femme c’est aussi comprendre le fonctionnement de la communication publique) et dans la mesure où les individus en quête de vérité ont tendance à ne pas s’arrêter en chemin. Mais c’est à peu près tout. Et puisque l’expression est galvaudée même dans les cercles les plus loufoques des débusqueurs de reptiliens, on conseillera au lecteur de rester prudent face à l’étiquette “pilule rouge” en dehors des relations homme/femme.

Pour ma part, je vais donc m’attacher à dresser une sorte de description historique de la pilule rouge sur les relations homme/femme, sans nier qu’il puisse exister d’autres pilules rouges et sans chercher à faire une hiérarchie entre différentes pilules rouges… Ayant remarqué qu’il existait des lignes de fracture entre plusieurs époques de la pilule rouge, j’ai utilisé le terme de “vague” pour caractériser chacune de ces périodes historiques. Au vrai, le glissement d’une époque à la suivante s’opère sur une vingtaine de mois et donc mon découpage un peu schématique “une décennie = une vague” pourrait être nuancé en fonction des pays et des tendances de pilule rouge.

Photo de Pedro Figueras provenant de Pexels

Pilule rouge, première vague.

Autour de l’an 2000, on a vu s’épanouir une vraie réflexion masculine sur le monde, sa fausseté et le rôle que pouvaient avoir les hommes dans un monde où pour la première fois ils n’étaient plus perçus comme nécessaires à la survie collective. Les films de la période attestent de ce foisonnement d’interrogations : Matrix (la fausseté du monde et la notion de libre-arbitre), Equilibrium (la disparition des sentiments et l’automatisation du monde), The Truman Show (la fausseté du monde, la société du Spectacle), Magnolia (la masculinité, l’illusion du succès), Fight Club (la masculinité, la violence, la quête de sens dans un monde de bureau), American Beauty (la crise de la quarantaine, le règne des illusions) voire même une comédie plus légère comme Office Space (jeu des apparences au travail)…

La métaphore matrixienne de pilule rouge a diffusé dans l’imaginaire commun à cette époque, et il n’est nullement surprenant que les féministes des années 2000 s’en soient emparées, tout comme les anti-féministes et premiers MGTOWs (Men Going Their Own Way) de la même époque. Ce qui est déstabilisant, toutefois, c’est que les féministes puissent considérer l’idée que “les femmes de tout temps, en tout lieu sont dominées par les hommes” comme une pilule rouge. Je dis déstabilisant pour ne pas dire incompréhensible. Il n’y a en effet là aucune forme de nouveauté intellectuelle, aucune pensée qui sorte de l’ordinaire. Le monde du Spectacle, par toutes ses productions, rabâche ce poncif depuis au bas mot les années 60. C’est un lieu commun.

Comparativement, la combinaison des films cités ci-dessus (liste non-exhaustive bien entendu), produit une pensée infiniment plus riche du côté masculin.

Le travail, longtemps perçu comme un pilier de la masculinité (en tant qu’effort permettant de subvenir à ses besoins et à ceux d’autrui) se trouve démystifié. Cette révélation est d’autant plus grave dans la perception anglo-saxonne qu’elle s’oppose à la vision protestante classique du travail, qui en fait un chemin d’accès à la rédemption et à la grâce. Au contraire, donc, les années 2000 réalisent que le travail a perdu son rôle productif pour une partie de la population et que le bullshit job gangrène les sociétés modernes. Le monde du travail n’est plus un lieu de création de richesses mais de création d’apparences. Cette réalité alternative n’est pas franchement compatible avec les codes de la masculinité (soumission aux règles et à la paperasse, absence de composante manuelle/physique, hiérarchie qui valorise la docilité plutôt que la performance).  

Par-delà le travail, qui n’est désormais qu’une forme d’occupation des masses, c’est toute la société qui est fausse. Le monde de Truman n’est qu’un théâtre de faux-semblants dont il voudrait s’échapper. Le monde de Neo n’est qu’une illusion cachant la réalité d’un monde de bétail humain. Le monde d’Equilibrium est tellement normalisé et calibré que le simple fait d’avoir une émotion est perçu comme dangereux. Face à cette accumulation d’illusions, la douleur et la souffrance sont présentées dans Fight Club comme les dernières scories d’une réalité qu’on cherche à effacer. Le baiser mortel de l’acide sulfurique est un moment de vrai dans un monde de faux. Cet appel à tout foutre en l’air pouvant conduire, suivant les sensibilités, à une reconversion salvatrice, à un changement de vie salutaire ou à l’auto-destruction.

Sans aller jusqu’à dire que la société s’est féminisée (expression superficiellement comprise comme dénonciation de la mode vestimentaire du temps), la société des années 2000 se découvre mieux adaptée aux aspirations des femmes qu’à celles des hommes. Le monde des petits cadres rémunérés en échange de quelques bouffonneries d’entreprise est incompatible avec la masculinité traditionnelle. Les femmes sont valorisées lorsqu’elles remplissent des rôles masculins, mais les hommes ne sont plus valorisés pour leur masculinité. Un constat qu’on retrouve dans les deux grands ouvrages français de l’époque : Vers la féminisation (A. Soral) et Le Premier Sexe (E. Zemmour).

Les années 2000 sont aussi marquées par la thématique de la drague, déjà perceptible dans le film Magnolia. Pick-up artists et autres dragueurs du dimanche réunissent sur des forums ou dans des livres les expériences détaillées de millions de séances de drague et en déduisent des comportements généraux. En quelques clics, n’importe quel homme a désormais accès à toutes les ficelles du dragueur à temps plein. Un savoir-faire expérimental qui conduit à une théorisation progressive des rapports homme/femme, comme sous la plume de Rollo Tomassi.

Du côté MGTOW, on date souvent la création de l’école de pensée vers 2001 (selon la légende dans une chambre d’hôtel réunissant quelques membres d’un forum), avec un ensemble de trois principes fondateurs :

  1. Exalter la masculinité chez les hommes.
  2. Exalter la féminité chez les femmes.
  3. Travailler à la limitation du rôle de l’Etat (minarchisme).

Pilule rouge, seconde vague.

La seconde vague démarre lorsque le message MRA (Men’s Rights Activists) et MGTOW commence à devenir audible dans le débat public. Ce virage s’amorce dans les années 2010 avec la prolifération de chaînes Youtube comme celle de Paul Elam, Karen Straughan, Stardust, Barbarossa (qui se détachera dans une vidéo du manifeste MGTOW de première vague) ou même Turd Flinging Monkey. Ils affinent la compréhension de nombreux concepts de la pilule rouge (hypergamie, gynocentrisme, etc) indépendamment de la problématique de la drague à laquelle elle était jusque-là rattachée. Cette seconde vague perçoit la question de la drague comme n’étant au mieux que comme une partie des questions existentielles qui préoccupent les hommes et au pire comme une rustine temporaire.

Le documentaire The Red Pill de 2016 contribuera à populariser cette pilule rouge de seconde vague en regroupant des acteurs de l’anti-féminisme et des MRAs. Jordan Peterson, chercheur américain, se fait aussi le relai de cet ensemble de problématiques et devient rapidement un porte-parole des interrogations masculines. Sa vision du monde, partiellement sacrificielle (il faut nécessairement souffrir pour grandir), provoque des débats dans la sphère MGTOW.

Cette seconde vague coïncide avec une communication féministe de plus en plus agressive. Le mouvement #MeToo étant un bon exemple. Cette communication se focalise d’ailleurs de moins en moins sur les droits des femmes et de plus en plus sur les récriminations contre les hommes.

Dans les discours de la seconde vague, l’après-drague devient un sujet phare. Il était courant dans la démarche Pick-up Artist (coach en séduction) de ne concevoir la problématique du couple que comme un chemin tortueux menant au “F-close”, c’est-à-dire à la copulation. Les coachs/dragueurs étendent désormais leurs conseils à l’après-drague, notamment en faveur des couples de longue date (notion du “cadre” dans le mariage). La suspicion féminine grandissante et l’arrivée massive des smartphones (avec les écouteurs et les comportements d’isolement qui les accompagnent) les poussent progressivement à délaisser la drague de rue, autrefois vue comme l’école de formation par excellence.

Dans le sillage de la démocratisation des nouvelles technologies et des comportements sociaux qu’elles entrainent (applications de rencontre ou de narcissisme), la pensée MGTOW s’attache particulièrement à critiquer l’inflation de l’égo féminin et de l’hypocrisie de ces comportements sociaux (chez les hommes : les “simps”, chez les femmes : les “thots”). Aux tendances féminines naturelles, s’ajoutent selon la vision MGTOW une hypergamie numérique et une bulle de la “valeur féminine” (la soif du net). Dans un contexte post-2008, la problématique économique prend une certaine dimension dans une frange MGTOW qui cherche à atteindre l’indépendance et l’autonomie.

Les nouvelles suggestions MGTOW pour les années 2010 sont :

  1. Refuser le mariage.
  2. Refuser d’avoir des enfants.
  3. Avoir une approche prudente de la cohabitation avec des partenaires de longue durée.
  4. Se focaliser sur son développement.
Photo de cottonbro provenant de Pexels

Entre censure, Black-Pill et God-Pill : la troisième vague a débuté

L’épisode (toujours pas terminé) du covid à l’échelle mondiale a mis un coup de frein à bon nombre de problématiques sociétales. Face à la peur (probablement exagérée) d’une mort imminente, la problématique de la drague ou du gynocentrisme est secondaire. Au point qu’on pourrait se demander, si l’on ne disposait que des médias de masse pour s’informer, si la pilule rouge n’est pas tout simplement morte.

Les problématiques communes sur lesquelles s’entendent les hommes qui ont pris la pilule rouge ne se sont pas évaporées par la magie d’une diversion. Elles sont là et durablement là. Mais qu’est-ce qui justifie alors de parler de 3ème vague ? La censure, pour partie. La pilule rouge est advenue parce que le débat franc était possible. Si autant d’hommes ont pu partager leurs expériences, proposer des interprétations voire critiquer d’autres visions du rapport homme/femme, c’est avant tout parce qu’ils avaient la possibilité de parler librement, sans filtre.

Or les choses ont changé. L’expression d’une pensée anti-féministe est perçue comme une quasi-incitation au terrorisme désormais (voir page 31 de ce rapport européen). Youtube ne tolère plus de débats pilule rouge. Reddit non plus. Facebook ou Twitter pas davantage. Nombre des membres de la communauté se dispersent sur des dizaines de plateformes alternatives (Discord, Lbry, Gab, Minds, Bitchute, Telegram, MGTOW.tv,…) pour continuer à avoir dans de petites niches privées des débats qui étaient autrefois publics. Tout ceci nuit à la qualité du débat, bien entendu.

La censure mondiale, la reprise du pouvoir par les démocrates américains ou même la passivité des citoyens face à certaines privations de liberté ont généré une forte tendance à la résignation et au désespoir (Black-Pill). “L’humanité n’est pas pilule bleue par ignorance mais par choix”, assène Colttaine dans The matrix behind the matrix. Alors que la pilule rouge était présentée comme une connaissance permettant de mieux s’en sortir que la moyenne des individus, certains penseurs réalisent que son pouvoir même à l’échelle individuelle est faible. “Il n’y a aucune plus-value pratique à la pilule rouge, puisqu’elle permet de se rendre compte des travers du monde mais pas d’y échapper” dit encore Colttaine. Contrairement à l’optimisme (surtout MRA) de la seconde vague qui cherchait à répandre la pilule rouge pour améliorer le monde, une frange de la troisième vague est désillusionnée et constate l’échec de l’amélioration de la vie des hommes ayant pris la pilule rouge.

Une autre partie de la pilule rouge suit une tendance américaine de retour à la religion. Dans un monde qui semble se dissoudre dans la perversion et le chaos, la Bible et la foi semblent apporter une planche de salut. La branche Vatican II est bien sûr contestée (puisque soluble dans le progressisme de gauche) et on lui préfère les branches traditionnalistes ou même orthodoxes. Le duo Milo Yannopoulos et Roosh V adhère pleinement à la démarche d’un retour vers la foi. Le terme de “God-Pill” est souvent employé pour parler d’une compréhension de la toute-puissance divine et de la nécessité de se placer au service de l’œuvre de Dieu. Une vision qui a le bon goût de proposer un cap et un but à l’existence mais qui peut aussi renforcer la passivité de certains hommes. C’est toute l’ambiguïté d’une formule comme “Trust the Plan” qui peut donner du courage (à la fin, tout se terminera bien) ou de la paresse (tout est pris en charge par autrui, il n’y a qu’à attendre). Il serait d’ailleurs intéressant de voir comment l’interaction entre la sphère religieuse et la sphère pilule rouge va s’opérer puisque les premiers pourraient légitimement craindre un détournement de la foi aux fins idéologiques des seconds. Une chose est sûre, l’actuel Pape n’est pas prêt de répandre les vérités de la pilule rouge.

Les nouvelles suggestions MGTOW ne sont pas encore établies pour les années 2020. Compte tenu de mes observations, je vais proposer quelques pistes de mon cru (en espérant lancer un débat) :

  1. S’isoler des femmes les plus toxiques (manipulatrices, triade noire).
  2. Considérer toute relation homme/femme ou homme/”organisme gynocentré” avec prudence.
  3. Travailler à sa souveraineté sur tous les aspects : en matière financière (plusieurs sources de revenu ou entreprise en propre), de logement, de nourriture, de santé, de protection des biens…
  4. Travailler à grandir chaque jour : prendre de bonnes habitudes, se donner des projets ambitieux pour tester ses limites, etc.
  5. Travailler à l’entraide entre hommes ayant pris la pilule rouge.

Une histoire à perfectionner…

Ecrire une histoire de la pensée pilule rouge n’est pas simple. Les sources historiques disparaissent (censure, disparition de sites internet), les rumeurs ou légendes sont nombreuses (et souvent invérifiables) et le foisonnement d’information est tel qu’on ne peut pas espérer avoir tout lu sur le sujet.

Pourtant, cette histoire de la pensée pilule rouge est indispensable. Il faut comprendre d’où viennent les idées, comment elles ont évolué et pourquoi. Le temps passe plus vite sur Internet que dans la vie réelle. Un manifeste MGTOW d’il y a une quinzaine d’années est largement considéré comme obsolète par la communauté moderne. Mais encore faut-il percevoir l’évolution de la communauté dans le temps pour s’en rendre compte (ce qui n’est en moyenne pas le cas des journalistes qui écrivent sur le sujet).

Ainsi je conçois cet article comme la première étape d’un travail d’histoire de la pilule rouge et je ne doute pas que des bonnes volontés (sur ce site ou ailleurs) viendront la compléter.

Conclusion

La connaissance pilule rouge n’a pas notablement changé en un quart de siècle, mais la communauté pilule rouge oui. A dire vrai, ses certitudes aujourd’hui semblent moins fermes qu’elles ne le furent par le passé. Un ensemble de principes fondamentaux demeure :

  • Le dimorphisme homme/femme est indépassable et a des conséquences profondes sur le fonctionnement de la société.
  • Le gynocentrisme est réel et on peut en faire l’expérience à tous les niveaux d’une société. En particulier, le fonctionnement d’un gouvernement est d’autant plus gynocentré qu’il est hypertrophié (redistributions fiscales, protection des femmes, création d’emplois de fonctionnaires majoritairement féminins).
  • A l’échelle individuelle, la compréhension d’un ensemble réduit de phénomènes sociaux et biologiques (la connaissance pilule rouge) peut notablement améliorer les conditions de vie, tant que l’individu parvient à garder ses distances avec le gynocentrisme ambiant.

Ces principes fondamentaux demeurent comme autant de phares dans un monde de mensonges. Tout individu qui parvient à s’isoler raisonnablement des structures gynocentrées (grandes entreprises, justice, gouvernement, médias) peut espérer faire un usage concret de la pilule rouge pour améliorer sa vie et se réaliser.


5 réponses à “Une brève histoire de la Pilule Rouge”

  1. Merci pour cette belle synthèse, et écrite en bon français, ce qui devient une rareté. Je découvre et me sens réconforté de voir qu’il existe des pensées et actions de contrepouvoir à la folle déferlante “féministe”, que je mets entre guillements parce qu’elle n’a plus rien à voir avec l’idée d’une simple quête pour l’égalité des droits.
    Personnellement j’inclinerais plutôt pour une action intermédiaire entre un MGTOW tranquille (au sens de pacifique) et un “militantisme à bas bruit” (qu’on pourrait traduire par Low Noise Activism ou LNA). De mon point de vue, le militantisme ne doit pas tomber dans les excès et les outrances dont Metoo nous a abreuvés. Il doit rester honnête intellectuellement. Voilà, je ne sais pas très bien vers quel(s) organisme(s) orienter d’éventuelles contributions. Je peux écrire des témoignages de ma propre expérience des “biais genrés” (je n’aime pas le terme discrimination), auxquels j’ai eu à faire face dans ma vie d’homme marié et divorcé. Je vais suivre les fils qui nous sont proposés dans votre site.

  2. Cher Mos Majorum, voici un article plus que complet et qui remet les pendules à l’heure. Formidable.
    Je n’arrive pas à comprendre comment j’ai pu manquer tout ce qui a été produit sur cette page depuis le début de l’année. J’étais probablement trop occupé à faire grandir le groupe Facebook MgtoW Francophone, sur lequel je suis modo. Et sur lequel tu es vraiment invité à revenir discuter, ça ne pourra que nous enrichir mutuellement et réciproquement.

    Continuez comme ça avec LTE et Osalnef, c’est tout bon.

    Force et Honneur.

    Au fait Mos Majorum.

  3. Un néologisme tel que disgénisme serait à mon avis plus pertinent que le trop restrictif dimorphisme.
    Excellent article, merci pour votre travail.

  4. Cher Mos,

    Merci pour cette synthèse, par contre, je ne suis pas d’accord avec “relai”, et “prêt de répandre”, j’écrirais “près de répandre”, ou “prêt à répandre”, à la rigueur, désolé, déformation professionnelle 😉

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