Chronologie de la dérive MeToo et modus operandi des scandales promotionnels…
Le Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes, arrière-boutique féministe du Secrétariat d’Etat à l’Egalité, vient de publier un rapport sur le lien entre sexe, genre et médecine en France. Nous analysons ce rapport ici.
Nous avons fait le tour de cette introduction. Bien qu’incomplète ainsi que limitée par sa nature d’introduction et son impératif de concision, j’espère que cette série d’article vous aura éclairé sur un anti-féminisme peu médiatisé et loin des clichés qu’on peut avoir en tête quand on pense au terme ‘anti-féminisme’.
Un article me calomniant par des procédés de manipulation assez grossiers a été publié le 11 Décembre sur Les Temps Modernes (anciennement Charlistan.net, le site…
Aujourd’hui, en Occident, contrairement à une idée reçue populaire, l’égalité en Droit n’est pas atteinte entre les hommes et les femmes. Plus surprenant encore, cette…
Je ne savais pas exactement quel sujet “bonus” choisir pour cet article qui sert de supplément à l’introduction à mon antiféminisme. J’ai choisi l’opposition entre le féministe du XIXème siècle entre John Stuart Mill et l’anti-féministe du début du XXème siècle Alfred belfort Bax.
Cet article va être un peu plus délicat que les précédents. Je crois que l’idée que je vais défendre ici est encore plus difficile à croire que la symétrie genrée des violences conjugales par exemple, et ce, au point qu’elle ne fait absolument pas consensus au sein-même des anti-féministes. il s’agira de défendre l’idée que les femmes n’étaient pas plus opprimées que ne l’étaient les hommes à l’époque des débuts du féminisme.
Ce septième article entame la dernière ligne droite de cette introduction. Nous allons aborder plusieurs sujets chers aux féministes et permettant de lui accorder une certaine légitime, que ce soit dans le domaine de la recherche, de la politique ou aux yeux du grand public. Pourtant, ces sujets appuyant l’oppression patriarcale sur les femmes relèvent en fait du mythe.
Passer de la pilule bleue à la pilule rouge, c’est changer de narration. On fait le point sur la notion et sur la manière dont on peut se reconstruire après la pilule rouge.
Du discours féministe sont aussi exclues les femmes victimes d’autres femmes. Elles ne valident pas l’idéologie, alors, comme les hommes victimes, elles restent mises de côté. Cependant, leur victimation n’est pas négligeable, ni en théorie, ni dans les faits. En nombres absolus, cette victimation sera forcément plus faible du fait du caractère minoritaire de la population lesbienne. Mais en chiffres relatifs, la population lesbienne est tout autant à risque (violences sexuelles et conjugales).